Né en 1898, fils de François Loncin et Joséphine Lejeune, il est un ancien élève au Collège Marie-Thérèse.
En 1914, il vient d’entrer au noviciat des frères des Ecoles Chrétiennes de Bockerijk lez Hasselt.
Il revient le 4 août dans sa famille, quand les Allemands l’emmène avec son père et son frère Mathieu à Labouxhe-Melen le 6 août 1914. Son frère est assommé et laissé inconscient sur le bord de la route. François et son père sont parmi les nombreuses victimes qui sont fusillées. Il est enterré au cimetière de Labouxhe-Melen avec son père.
Mon arrière grand-père, garde-champêtre, François FRANCK et son fils, Servais, ont été fusillés à Labouxhe-Mélen, où ils reposent, le 4 août 1914, jour de l’invasion allemande. Ils sont morts pour la Belgique.( Francis Franck ) |
Paix à son âme !
Mon arrière grand-père, garde-champêtre, François FRANCK et son fils, Servais, ont été fusillés à Labouxhe-Mélen, où ils reposent, le 4 août 1914, jour de l’invasion allemande. Ils sont morts pour la Belgique.
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Petite correction : le frère d’Antoine ne s’appelait pas Mathieu, mais Joseph, mon grand-père, qui a été instituteur à José et a eu 7 enfants
François LONCIN, mon arrière grand-père, avait 3 enfants : Antoine (16 ans), Catherine (14 ans) et Joseph (12 ans).
Lorsque les allemends ont « raflé » les hommes pour les fusiller, sa femme, mon arrière grand-mère, leur « aurait » crié : « Ne me les prends pas tous », ce qui « aurait » provoqué le fait qu’un soldat allement a assomé Joseph (le plus jeune) d’un coup de crosse et il est resté inconscient dans le fossé et n’a donc pas été fusillé.